1
ques, etc., se rapportent à ces cinq versions. Je
tiens compte
également des travaux critiques plus récents de MM. E. Muret et E. Vi
2
’espère fécondes. Mais le lecteur me saura gré de
tenir compte
des doutes qui ont dû s’élever dans son esprit, et d’indiquer en bref
3
sément son fait. On l’excusera d’ailleurs si l’on
tient compte
de l’état des études arabisantes à son époque. Des travaux plus récen
4
d’un désir aussi difficile à satisfaire. On peut
tenir compte
du renseignement, mais il n’explique en somme rien de précis quant à
5
on ne manquerait pas de me les opposer si je n’en
tenais pas compte
dès maintenant. 54. Par exemple, le médiéval serait trop « naïf » po
6
que leurs paroles. Il ne s’agit donc, ici, que de
tenir compte
des éléments hérités de leur langage littéraire. Or s’il faut se born
7
est certain, c’est que Napoléon fut le premier à
tenir compte
du facteur passionnel dans la conduite des batailles. D’où ce cri d’u
8
ni ; etc. C’est pour toutes ces raisons que je ne
tiens compte
, dans mon analyse, que de la légende rédigée, et réinventée quant au