1 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
1 ques, etc., se rapportent à ces cinq versions. Je tiens compte également des travaux critiques plus récents de MM. E. Muret et E. Vi
2 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
2 ’espère fécondes. Mais le lecteur me saura gré de tenir compte des doutes qui ont dû s’élever dans son esprit, et d’indiquer en bref
3 sément son fait. On l’excusera d’ailleurs si l’on tient compte de l’état des études arabisantes à son époque. Des travaux plus récen
4 d’un désir aussi difficile à satisfaire. On peut tenir compte du renseignement, mais il n’explique en somme rien de précis quant à
5 on ne manquerait pas de me les opposer si je n’en tenais pas compte dès maintenant. 54. Par exemple, le médiéval serait trop « naïf » po
3 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
6 que leurs paroles. Il ne s’agit donc, ici, que de tenir compte des éléments hérités de leur langage littéraire. Or s’il faut se born
4 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
7 est certain, c’est que Napoléon fut le premier à tenir compte du facteur passionnel dans la conduite des batailles. D’où ce cri d’u
5 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
8 ni ; etc. C’est pour toutes ces raisons que je ne tiens compte , dans mon analyse, que de la légende rédigée, et réinventée quant au